mercredi 27 février 2013
Instagram et toi et moi...
Avec un recul de plusieurs années, je dois bien reconnaître, à ma grande surprise, qu'Instagram est finalement l'un des outils du Web que j'ai le plus utilisé à titre personnel, tout autant que Twitter, Facebook ou Blogger. Oui, avec surprise car, avant d'utiliser les réseaux sociaux, je n'étais pas vraiment très intéressé par la photographie...
Avant de me plonger dans Instagram, j'avais été fasciné de voir qu'un de mes amis, Christophe Ducamp, avait déjà plus de 10000 photos dans flickr alors qu'à l'époque, l'outil n'en était qu'à ses toutes premières années !
Si une image vaut mille mots, alors dix milles photos en racontent autant sur moi que dix millions de mots. Au-delà de la possibilité de faire connaître son art et son talent, ce qui reconnaissons le, est réservé à une minorité, les outils de partage de photographies permettent de partager sa vie en images tout simplement : un lifelog, tout à fait nouveau et fascinant est donc à la portée de tout un chacun !
Depuis plusieurs semaines, j'ai fais le choix de suivre quotidiennement dans Instagram les partages de photos d'une centaine de personnes. Je trouve que c'est une façon vraiment plaisante d’interagir, de se faire quelques nouveaux camarades et de garder le contacter avec d'autres qu'on a trop peu l'occasion de croiser.
Instagram c'est aussi un outil extrêmement rapide et puissant, qui permet d'animer également ses comptes Facebook, Twitter, Foursquare et Flickr. Certains de vos camarades se plaindront alors peut-être d'avoir vu passer plusieurs fois une de vos photos mais dans l'ensemble cela reste relativement marginal.
Instagram c'est l'outil qu'on a envie de dégainer à chaque fois qu'une image nous parle. Au fil du temps, on se prend au jeu d'essayer d'avoir l’œil du photographe, même si le talent d'artiste n'est pas si courant...
Tout comme sur Twitter, les hashtags y fonctionnent bien. Suite à la publication de mon Guide pratique du Quantified Self j'ai fais beaucoup de partage de photos autour de ce hashtag #quantifiedself. Rappelons qu'il s'agit de la capture, de l'analyse et du partage de données personnelles, autrement dit la mesure de soi 2.0.
J'ai alors constaté avec plaisir que, sur ce réseau social comme dans les autres, je n'étais pas le seul à utiliser ce hashtag ainsi que d'autres liés comme #minceur13, #fitbit, etc... En suivant de près ces hashtags, j'en ai profité pour nouer de nouveaux contacts dans cette sphère d'expertise. Toutefois, j'ai continuer à me limiter à suivre une petite centaine de personnes dans Instagram car voir défiler les photos de milliers de gens ne me paraît pas vraiment jouable.
Après quelques années d'utilisation d'Instagram, j'ai donc peu à peu laissé tomber l'utilisation de filtres ou d'effets plus ou moins bienvenus, qui souvent dégrade la définition et la qualité de la photo initial. J'ai accès mon utilisation d'Instagram autour du lifelog, de l'interaction sociale autour des photos et des recherches autour du Quantified Self.
Tout ça c'est bien beau... mais Toi comment utilises-tu Instagram ?
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samedi 23 février 2013
La vie privée, un problème de vieux cons ?
Je viens de terminer la lecture de "La vie privée, un problème de vieux cons ?" de Jean-Marc Manach paru chez Fyp Editions. En effet, après la publication de mon livre, Le Guide pratique du Quantified Self, j'ai décidé de lire différents ouvrages sur les données personnelles à l'heure du numérique.
A l'heure ou de plus en plus d'Internautes, et j'en fais partie, capturent, analysent et partagent leurs données personnelles sur les réseaux, il est logique de se poser à nouveaux les bonnes questions liées à la porosité entre vie privée et vie publique.
"La vie privée, un problème de vieux cons ?" montre très bien comment nos actes en ligne laissent des traces. Il explique aussi les différentes attitudes à adopter et les différents niveaux de précautions à envisager au regard des enjeux présents et futurs.
Le partage de nos données personnelles constitue une nouvelle forme de communication et un formidable ressort de motivation. Mais, il convient de le faire en ayant conscience des dangers encourus.
Je vous recommande ce livre car je pense qu'il est grand temps de se pencher sur cette question. Il n'est peut-être pas trop tard pour adopter de meilleurs pratiques et faire meilleur usage du Web. J'ai trouvé que ce livre clair et précis faisait bien le tour de la question, apportant son lot de réponses souvent méconnues et posant les bonnes questions... parce que la sécurité ne coûte cher qu'avant l'accident !
PS : Ce billet a été écrit dans le cadre d'un concours organisé par Virginie Bichet. Sur son blog elle vous invite à écrire la critique de votre dernière lecture sur votre propre blog. Disons que c'est une intiative qui relève le niveau des concours qu'on voit fleurir sur le Web, vous ne pensez pas ?
jeudi 21 février 2013
Je réclame 50 minutes de mon attention
Le Smartphone semble être devenu un objet indispensable pour bon nombre d’entre nous… au point qu’on retourne le chercher chez soi à chaque fois qu’on l’a oublié. En quelques mois seulement, il est devenu tout aussi indispensable que sa carte de crédit, ses papiers, ses clés. Mais, à la différence de ses autres objets de notre quotidien, le Smartphone n’est pas dédié à un seul usage. Le Smartphone lui peut servir à tout, du plus utile au plus futile, du plus indispensable au plus chronophage.
Puisqu’on le porte déjà sur soi pour être joignable, la tentation est donc forte de le laisser insidieusement occuper tout l’espace disponible. Adieu réveil matin, bulletin météo télévisé, exit le plan, le journal, l’agenda et le bloc-notes en papier. Inutile le dictionnaire des langues, etc. Même des objets technologiques plus récents comme le baladeur MP3, le GPS de voiture, le capteur d’activité sont aujourd’hui menacés par le Smartphone qui intègre déjà ces fonctions.
Le Smartphone devient le bras armé de la dématérialisation de nos gestes quotidiens. Pour ces aficionados de plus en plus nombreux, il refait en mieux ce que faisait les objets de notre quotidien quitte à muter pour intégrer de nouvelles fonctions : un écran plus grand ou dépliable pour remplacer la télévision, une puce NFC pour remplacer la carte bleue...
Mais le Smartphone n'est pas un simple couteau Suisse. Car l'outil formate la pensée de l'artisan. A quoi bon chercher uniquement dans son cerveau une réponse que connaît déjà l'application Google ou Wikipédia ?
Dès que Steve Jobs a brandi le premier iPhone en 2007, il m'apparu comme une évidence qu'avec Internet dans sa poche 24h/24 et 7j/7 le monde ne serait plus jamais comme avant. Avec le recul, 6 ans plus tard, puis-je être sûr qu'il s'agit pour autant d'un monde meilleur ?
L'époque de la fascination aveugle pour la nouveauté est désormais derrière moi. L'enthousiasme débridé de l'exploration des nouveaux usages ne doit pas justifier tous les excès. En route pour la mise en place des usages raisonnés. Plus l'animal est puissant, plus il faut apprendre à la dompter rapidement !
Fixons nous des limites à son usage. Ne laissons plus notre Smartphone nous suivre partout en tout temps et en tout lieu, comme un animal de compagnie mal dressé.
Réapprenons à lire un livre à la fois. Réapprenons à écrire dans un bloc note de papier blanc. Pensons par nous même au lieu d'interroger notre réseau. Agissons de nous même au lieu de réagir à la notification qui vient de s'afficher sur notre Smartphone.
Vous avez sans doute lu que la capacité maximale d'attention était de 50 minutes. Mais on parlait alors de l'attention d'une salle de classe pour des élèves non équipés de Smartphone. Dans vos réunions, si tous vos collègues viennent avec leur Smartphone, je peux vous garantir que la capacité maximale d'attention est bien plus faible que cela !
Post-scriptum : ce billet a été écrit en moins de 50 minutes mais dans des circonstances rarissimes, mon Smartphone était tombé en panne de batterie pendant 8 heures d'affilée !
Puisqu’on le porte déjà sur soi pour être joignable, la tentation est donc forte de le laisser insidieusement occuper tout l’espace disponible. Adieu réveil matin, bulletin météo télévisé, exit le plan, le journal, l’agenda et le bloc-notes en papier. Inutile le dictionnaire des langues, etc. Même des objets technologiques plus récents comme le baladeur MP3, le GPS de voiture, le capteur d’activité sont aujourd’hui menacés par le Smartphone qui intègre déjà ces fonctions.
Le Smartphone devient le bras armé de la dématérialisation de nos gestes quotidiens. Pour ces aficionados de plus en plus nombreux, il refait en mieux ce que faisait les objets de notre quotidien quitte à muter pour intégrer de nouvelles fonctions : un écran plus grand ou dépliable pour remplacer la télévision, une puce NFC pour remplacer la carte bleue...
20 ans plus tard tous ces objets sont remplaçables par un Smartphone
Mais le Smartphone n'est pas un simple couteau Suisse. Car l'outil formate la pensée de l'artisan. A quoi bon chercher uniquement dans son cerveau une réponse que connaît déjà l'application Google ou Wikipédia ?
Dès que Steve Jobs a brandi le premier iPhone en 2007, il m'apparu comme une évidence qu'avec Internet dans sa poche 24h/24 et 7j/7 le monde ne serait plus jamais comme avant. Avec le recul, 6 ans plus tard, puis-je être sûr qu'il s'agit pour autant d'un monde meilleur ?
L'époque de la fascination aveugle pour la nouveauté est désormais derrière moi. L'enthousiasme débridé de l'exploration des nouveaux usages ne doit pas justifier tous les excès. En route pour la mise en place des usages raisonnés. Plus l'animal est puissant, plus il faut apprendre à la dompter rapidement !
Fixons nous des limites à son usage. Ne laissons plus notre Smartphone nous suivre partout en tout temps et en tout lieu, comme un animal de compagnie mal dressé.
Réapprenons à lire un livre à la fois. Réapprenons à écrire dans un bloc note de papier blanc. Pensons par nous même au lieu d'interroger notre réseau. Agissons de nous même au lieu de réagir à la notification qui vient de s'afficher sur notre Smartphone.
Agir au lieu de réagir aux notifications
Vous avez sans doute lu que la capacité maximale d'attention était de 50 minutes. Mais on parlait alors de l'attention d'une salle de classe pour des élèves non équipés de Smartphone. Dans vos réunions, si tous vos collègues viennent avec leur Smartphone, je peux vous garantir que la capacité maximale d'attention est bien plus faible que cela !
Récupérons vite notre cerveau de l'ère pré-internet !
Post-scriptum : ce billet a été écrit en moins de 50 minutes mais dans des circonstances rarissimes, mon Smartphone était tombé en panne de batterie pendant 8 heures d'affilée !
Slogans for the Early 21st Century, Douglas Coupland, 2012.
Daniel Faria Gallery, Toronto,
Photo credit: Jennifer Rose Sciarrino
A lire autour de ce sujet :
L'addiction nous guette-t-elle tous ?. Interview de Thomas Gaon par Carole Blancot
samedi 16 février 2013
Prouvez sur le Web avec NetConstat
Sur Internet, en cas de diffamation, de piratage, de plagiat, de contrefaçon ou de concurrence déloyale, comment vais-je faire valoir mes droits ? Je précise tout de suite qu'il ne s'agit pas d'un cas théorique, mais que j'ai vraiment été concerné !
J'ai pu constater qu'une simple copie d'écran ne constitue pas une preuve. Si un officier de police ou de justice vérifie lui même sur son écran le contenu litigieux, il pourra lui même établir cette preuve. Mais si, entre temps, le contenu litigieux a disparu, alors on pourra toujours vous opposer que votre copie d'écran est un montage et il vous sera difficile de prouver votre bonne foi !
Passer par un constat d'huissier peut être la solution adéquate, mais il faudra y consacrer entre 300 € à 500 €, uniquement pour établir de cette preuve. Si vous ne disposez pas d'un tel budget, je vous conseille d'utiliser NetConstat.
Pour un budget de 39 à 59 €, il est en effet possible de faire vous même un NetConstat : en utilisant un serveur sécurisé, vous pourrez produire une vidéo et des copies d'écrans de votre navigation, produisant ainsi des contenus Web horodatés, authentifiés et non falsifiables, qui auront plus de valeur probante.
Grâce à prix beaucoup plus abordable, vous avez désormais le moyen de barrer vous-même la route et même de dissuader à quiconque essaie de vous diffamer, vous pirater, vous plagier, à contrefaire vos produits ou à vous soumettre à une concurrence déloyale !
Des avocats ont déjà commencé à utiliser Netconstat et je le teste dans les semaines à venir et vous ?
Les tatouages électroniques temporaires
Les tatouages électroniques temporaires ouvrent de nouvelles perspectives dans le domaine de la télémédecine, du QuantifiedSelf, la domotique, etc.
Electronic Tattoos - Lauréat Netexplo 2013... par netxplorateur
Electronic Tattoos - Lauréat Netexplo 2013... par netxplorateur
mardi 12 février 2013
Petit répertoire des émotions numériques
Je viens de commencer la lecture du "Petit répertoire des émotions numériques" de Laurence Bee. Disponible sur iBooks Store et sur Kindle (compter 3,99€ environ). Précisons tout de suite qu'il s'agit d'un petit livre facile à lire et très riche en bonnes idées.
Et je me régale en le lisant !
En devenant 2.0, le Web n'est plus seulement une question d'interface homme-machine.
Le Web est devenu une question d'interfaces entre hommes et femmes au travers des machines.
Le numérique a considérablement modifié notre rapport à l'information, au temps, aux autres et par ricochet aussi à nous mêmes. Pour arriver à un changement si rapide, il nous aura fallu prendre le temps de vivre en accéléré toutes la palette des émotions en ligne, tour à tour en en nous dévoilant et en se cachant derrière nos écrans.
Les émotions vécues en lignes sont bien réelles point n'est besoin d'être face-à-face dans la "vraie vie" pour avoir le coeur qui bât plus vite... Et c'est cela qui fait l'intérêt du Web social, c'est pour cela qui fait qu'il faut lire très vite le "Petit répertoire des émotions numériques".
J'aurais pu attendre d'avoir fini ce livre pour vous en parlez mais justement non... Avec tout ce numérique qui m'environne, avec toutes mes émotions numériques si vite installées et si vite balayées par d'autres émotions numériques, mon rapport au temps a tellement changé que quand j'aurai fini ce livre, je serai déjà passé à autre chose et ce sera de cette autre chose dont je vous entretiendrai !
lundi 11 février 2013
Les tours de carnets, après Rhodia vint Moleskine
Voici la tour des carnets Moleskine que j'ai noirci depuis le 1er janvier 2012. Je me souviens bien de ce jour là, le 1er janvier 2012, quand j'ai reçu la proposition d'un éditeur, pour écrire le premier livre en français sur le Quantified Self, autrement dit la mesure de soi.
Je me souviens bien de ce jour là, le 1er janvier 2012, où j'avais aussi pour la première fois un carnet Moleskine entre les mains... Et je me suis souvenu de 3 années entre 2003 et 2006, où j'avais noirci des carnets Rhodia avec toutes mes données personnelles quotidiennes, toutes mes "mesures de moi". Alors j'ai accepté une certaine vérité en face : "oui finalement, en dépit de mes hésitations, j'avais peut-être une certaine légitimité pour écrire sur la mesure de soi et les données personnelles".
J'ai commencé à noircir les pages de mon premier carnet Moleskine le 1er janvier 2012 et seize semaines plus tard mon premier livre était terminé, le Guide Pratique du Quantified Self, mieux gérer sa santé, sa vie, sa productivité.
Une fois le livre terminé, j'ai gardé l'habitude d'acheter et de noircir des carnets Moleskine. J'aime les carnets fins : on peut en porter plusieurs sur soi, un pour chacun des projets que l'on veut fait aboutir en parallèle. J'ai aussi le carnet plus épais, le carnet Moleskine Evernote, où l'on peut tout noter et associer chaque page manuscrite à une note dans Evernote.
J'aime ce travail d'écriture, mi manuel mi intellectuel, quand la pensée se met peu à peu en formes, quand les idées s'inscrivent dans la matière par le contact physique entre la main, le stylo, le feuille... Et puis de temps en temps ça repose des écrans !
Et vous, avez-vous des belles histoires de petits carnets à partager ?
J'ai tourné la page...
"J'ai tourné la page..."
J'adore ce genre d'expressions définitives teintées d'illusion !
Je ne crois pas au grand soir ni collectif, ni individuel. Avec le recul, j'ai compris que ce que je faisais prend toujours racine dans ce que j'ai fais et ce que j'ai vécu. Et ce que je crois être "mes choix", n'est en fait que le moins pire des chemins qui s'offraient à moi à un moment donné aux regards des opportunités et des forces externes et internes en présence.
Aussi ai-je toujours un peu de mal avec ceux qui croient avoir plus de force de caractère, plus de courage ou plus de liberté intrinsèque que moi. Ceux qui croient voir et comprendre tous les déterminants à l’œuvre dans ma vie... mais ont-ils seulement compris et accepté ceux qui sont à l’œuvre dans la leur et qui les conduisent à leurs choix ?
Alors quand quelqu'un me dit "j'ai tourné la page...", pardon mais je ne peux m'empêcher de penser qu'il a bel et bien fait comme moi, c'est-à-dire écrit une nouvelle page tout simplement.
mardi 5 février 2013
Envie d'être mince en 2013 avec #minceur13
La capture, l'analyse et le partage de données personnelles, appelée aussi Quantified Self est un excellent moyen de tenir ses bonnes résolutions des mois durant et d'obtenir ainsi des résultats pérennes. Quelques mois après la sortie de mon livre Le Guide pratique du Quantified Self paru chez Fyp Editions en 2012, j'ai été intéressé quand j'ai que Virginie Bichet proposait sur son blog un élan collectif visant à perdre quelques kilos, disons 3 ou 4 kg, d'ici au 1er juin 2013. Pour cela, il suffit de faire quelques efforts, de mesurer sa progression et de partager sur Twitter, Instagram ou Vine en utilisant le mot-dièse #minceur13 afin que l'on puisse vous suivre et vous encourager.
Pour ma part, je conduirai cette démarche en utilisant un outillage déjà mis à ma disposition par mes recherches sur le Quantified Self : Fibit One, Balances WahooFitness, fitbit Aria et Withings, applications mobiles Runkeeper, TactioSanté, Moves.
Et toi, es-tu prêt(e) à relever le défi #minceur13 ? Et si oui comment vas-tu t'y prendre ?
samedi 2 février 2013
Moves vous aide à bouger plus !
Je teste Moves sur iPhone depuis le 25 janvier. Cette application enregistre vos trajets parcourus à pied, en vélo ou en transports et dessine chaque jour la carte de vos déplacements.
Si les indications fournies par Moves sont intéressantes, j'ai tout de même relevé deux imperfections :
- lors d'un trajet en voiture durant lequel j'avais mon téléphone à la main, l'appareil a cru enregistrer un trajet à vélo.
- le nombre de pas enregistrés par Moves et systématiquement très inférieurs à celui engistré par le capteur Fitbit One, y compris quand je porte mon iPhone durant toute la journée (!).
Je n'ai pas constaté de consommation excessive de la batterie durant mes 9 jours de tests de cette application.
L'information délivrée chaque jour présente une vraie valeur car elle me permet de voir si j'ai marché aujourd'hui plus qu'hier et si j'ai réussi à battre mon meilleur score de tous les temps !
Si les indications fournies par Moves sont intéressantes, j'ai tout de même relevé deux imperfections :
- lors d'un trajet en voiture durant lequel j'avais mon téléphone à la main, l'appareil a cru enregistrer un trajet à vélo.
- le nombre de pas enregistrés par Moves et systématiquement très inférieurs à celui engistré par le capteur Fitbit One, y compris quand je porte mon iPhone durant toute la journée (!).
Je n'ai pas constaté de consommation excessive de la batterie durant mes 9 jours de tests de cette application.
L'information délivrée chaque jour présente une vraie valeur car elle me permet de voir si j'ai marché aujourd'hui plus qu'hier et si j'ai réussi à battre mon meilleur score de tous les temps !
Vine, nouvelle forme de communication
Je démarre une exploration de Vine. Sur mon iPhone5, je l'utilise pour enregistrer de courtes vidéos de 6 secondes réalisées à partir d'une succession de séquences. Ces vidéos sont partageables sur Facebook. Elles sont surtout partageables sur Twitter où elles sont visualisées directement dans le tweet. On s'y retrouve ? Je suis curieux d'y découvrir vos créations !
vendredi 1 février 2013
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